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Le blog du phénix
22 juillet 2008

Franchement !! on est en 2008 ???????

Elle pédale avec les garçons sous les huées Le machisme gagne-t-il le cyclisme? En Vendée, une adolescente a participé à une course cycliste de garçons. Ça ne s'est pas bien passé. « Ça devait être une belle journée, elle a fini en cauchemar. » Le 29 juin dernier, Christina, uneadolescente de 14 ans, licenciée au Nantes-Doulon Vélosport, se fait une joie de participer au Prix de Bournezeau (Vendée). La course cycliste amateurs de 40 km est destinée aux minimes garçons. Mais parce que les épreuves féminines sont plus rares, les filles sont parfois acceptées. C'est une pratique courante, approuvée par la Fédération française de cyclisme. À la demande du papa de l'adolescente, le Vélo-club des Essarts, organisateur de la compétition, la laisse donc participer. « C'était l'épreuve la plus proche de son domicile. Je n'y ai pas vu d'inconvénient », explique Olivier Piveteau, vice-président du club. Mais le jour J, le commissaire de la course l'avertit : qu'elle finisse derrière ou dans le peloton de tête, elle ne « sera pas classée ». Des propos qui relèvent du machisme, estime son père, qui l'accompagne à toutes les compétitions. Ils décident de ne pas se plier aux consignes. La course commence. À chaque tour, l'adolescente fait jeu égal avec la quarantaine de garçons. Les officiels de l'épreuve l'enjoignent fortement de mettre la pédale douce, à plusieurs reprises. Christina termine finalement 4e. « Mentalité » « J'ai fini par pleurer », raconte l'adolescente, qui regrette « cette mentalité, cette hostilité » manifestée par les autres parents « dégoûtés que je batte leurs enfants ». La « seule explication » obtenue, c'est que « cette course est réservée aux garçons, raconte le papa. Mais si ma fille ne pouvait être dans cette course, il ne fallait pas l'accepter. » Son père n'en revient pas : « Tous ces gens ont piétiné l'équité sportive. Égalité oui, mais à condition que la femme reste à la place que l'homme lui choisit, de préférence loin derrière. » Olivier Piveteau, l'organisateur de la course, réfute cette version des faits. Quelques minutes avant le départ, histoire de ne « pas semer la zizanie auprès des autres parents, le commissaire lui avait dit de ne participer ni aux primes, ni au sprint d'arrivée. Elle avait donné son accord. » Le responsable du Vélo-club des Essarts regrette ce « pataquès » : « Le papa et un autre arbitre ont failli en venir aux mains. » Mais, précise Olivier Piveteau, « cette hostilité, c'est elle-même qui l'a créée en insultant le commissaire. Il n'y aura pas de sanction, mais elle devra sans doute s'expliquer devant le comité régional de cyclisme. » http://www.ouest-france.fr/Elle-pedale-avec-les-garcons-sous-les-huees-/re/actuDet/actu_8620-673189------_actu.html
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Commentaires
P
bon week à tous, à lundi
K
rien que pour l'hypocrisie qui l'entoure
P
Pas mal ton engin !! (heu, je parlais de la photo hein !!)<br /> <br /> Tu m'étonnes que ça doit faire du boulot, t'en fait gros de bois ?<br /> <br /> 8 à table ! bonne tablée ma fois ;-)<br /> <br /> bon week prolongé, moi aussi suis en repos demain,<br /> <br /> see you later, bye
P
Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.<br /> <br /> Albert Einstein
P
pas mauvaise ton idée honey ;-)
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